ANNEXE B . LA NUMÉROTATION EYTZINGER.

Un ascendant peut être reconnu, au minimum, avec ses nom et prénom(s). Pour le situer dans sa généalogie il est commode d'ajouter un numéro à cette identité sommaire.

Nous avons largement utilisé la numérotation Eytzinger, pour nos Cahiers 1, 2 et 3.
De multiples fois on la rencontre, en particulier:
-- sur le cahier 1, page 13,
-- sur le cahier 2, page 7 aux repères a et b,
-- sur le présent cahier 3 ( voir supra : page 7 aux repères a et b, page 21 au § 1.6, classement des fiches, page 22 au § 1.7, Aperçus des résultats).

Cette numérotation Eytzinger répond à certaines règles. Elles font l'objet d'une présentation et d'une explication pour son emploi, dans l'ouvrage de Léo Jouniaux " Généalogie" aux pages 36 et 38 (voir Supra, la Bibliographie au repère 5 ).

Nous en reproduisons ici quelques extraits :

" La numérotation de Michel Eytzinger (1590) :
--fixe aux hommes un numéro pair, aux femmes un numéro impair;
--confère au père un nombre égal : au double de celui de son fils – à la moitié de celui de son père. Exemple : le n° 8 a pour fils le 4, et pour père le 16 ;
--attribue à la mère un nombre égal : au double plus un de celui de son fils – à la moitié de celui de son père - à la moitié de celui de sa mère moins un .
Exemple : le numéro 33 est la femme de 32,
elle à pour père le numéro 66,
elle est la mère de (33–1) : 2 = 16,
sa mère est le numéro (33x2)+1 = 67 ;
--facilite l'utilisation de tous les tableaux généalogiques, qu'ils soient verticaux, horizontaux, circulaires et chronologiques".


Le schéma ci-dessous montre une répartition de numéros Eytzinger – de 1 à 63 – sorte de sque-lette d'une généalogie sur cinq niveaux.
Il est directement inspiré par le Tableau d'ascendance de la page 47. Il impose une place précise à chaque membre de la famille ( Cf. Supra, § 5.4. Observations page 46 ).




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